Les réseaux sociaux devancent l’argent et le sexe dans la liste de nos préférences

Pour vous aussi il est difficile de ne pas vous connecter à Facebook pendant une journée ou de ne pas regarder Twitter pendant une semaine ?

Rassurez-vous.

1- Vous n’êtes pas seuls 2- C’est plutôt normal

Voici de nouvelles précisions qui peuvent vous intéresser : les réseaux sociaux seraient plus addictifs que l’argent, le sommeil, la cigarette, l’alcool ou même le sexe !

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Explications :

Ce n’est pas un secret si l’on vous dit que les réseaux sociaux sont énormément utilisés.

Facebook : 1 milliard d’utilisateursTwitter 555 millions

Pinterest 11,7 millions

Leur utilisation serait aussi difficile à limiter. Dans une étude d’individus de 18 à 25 ans, les participants ont évalué différents besoins et addictions. Résultat : résister à Twitter, Facebook ou à tout autre réseau social s’est avéré plus difficile que d’autres besoins tels que : fumer, boire, dépenser de l’argent, dormir ou même avoir des relations sexuelles !

Inquiétant ?

Il est vrai qu’avoir des chiffres prouvés et que poser le mot « addiction » sur ce phénomène peut faire peur. Il est aussi certain que quelques uns vont se remettre en question. Mais après tout, s’il est prouvé que cela est normal, pourquoi culpabiliser ?

Lucie M.

Source: www.jouanito.com

Paul Miller, l’homme déconnecté revient à la réalité

Paul Miller vient de réaliser ce qui pourrait être assimilé à un exploit. Depuis le 30 avril 2012, il n’a pas utilisé de connexion Internet. Le 1er mai 2013, après un an de déconnexion, il revenait à la réalité, s’autorisant à revenir sur la toile. Pour l’occasion, il revient sur cette expérience surprenante.

La particularité de Paul Miller est qu’Internet fait partie de son milieu d’expertise. Ce journaliste de 26 ans est en effet spécialiste de l’actualité Web et High-Tech pour le site TheVerge. Cette expérience fut donc encore plus compliqué lorsque la nature de son métier à pour objet Internet. Avant de commencer l’expérience, Paul Miller disait : « j’abandonne l’une des cinq plus importantes innovations technologiques de tous les temps pour un peu de paix et de calme ». Et il semblerait que cette dernière fut très compliqué à vivre à cause de sa relation avec Internet. Miller ne peut pas vivre sans Internet puisque sa vie toute entière est connecté à Internet. Il a donc dû renoncer durant une année à une partie de sa vie. Dans un autre temps, le journaliste arrivait à mieux se concentrer, sachant qu’il ne pouvait absolument pas avoir accès à Internet! C’est ce que le journaliste fait ressortir de son expérience.

Apparemment, le plus dur à vivre a été d’être seul à effectuer cette expérience : « Internet n’est pas une activité individuelle, c’est quelque chose qu’on fait les uns avec les autres. Internet, c’est là où sont les gens». En même temps, nous pouvons réellement nous poser la question : comment vivre sans Internet ET vivre avec notre temps ? Je ne me vois pas vivre sans Internet, tout au moins pendant une année, et surtout être déconnecté avec les personnes.  L’utilisation de Google m’est quotidienne, la réalisation des projets entre groupe passe par une coordination par mails et par Facebook, la consultation d’un itinéraire se fait par Google Maps, et puis il m’aurait été impossible de publier sur ce blog… A la place, je devrai me rendre dans des bibliothèques pour consulter des ouvrages, je devrai me déplacer pour assister à de nombreuses réunions de groupes, je passerai mon temps au téléphone. Et puis, sans Facebook, il me serait très difficile de garder contact avec mon réseau. En résumé, je tiens à tirer mon chapeau à Monsieur Miller pour avoir accompli ce qui semble être un nouvel exploit de notre temps.

http://www.presse-citron.net/paul-miller-de-retour-sur-internet-apres-un-an-de-deconnexion

Sebastien A.

La société doit s’adapter à Google, et non l’inverse

Voici l’objet du débat : les Google Glass. Ces lunettes, sorties tout droit d’un film de sciences fictions, permettraient à leurs utilisateurs d’être connectés en continu sur Internet. Grace à un micro-projecteur, des informations, comme la réception d’un SMS, la vidéoconférence ou encore Facebook, seraient projetées sur la partie interne des lunettes. L’utilisateur pourrait ainsi voir le monde réel tout en mettant à jour leur compte Facebook ou en envoyant un SMS grâce à la reconnaissance vocale. Cela laisse rêveur…

Google Glass

Les Google Glass sont en phase de beta test auprès d’un échantillon trié sur le volet. En effet, Google permet à certaines personnes sélectionnées (moyennant 1500$…) de tester ces lunettes en environnement réel. Le problème de la discorde n’est autre que la fonction vidéo et photo des Google Glass. Des pancartes « Interdit aux Google Glass » commencent à fleurir sur la devanture de certains établissements américains. Un restaurant à Seattle, des casinos à Las Vegas… Les « Google Glasseur » sont tout simplement bannis !

Alors qu’une réaction normale aurait été que Google s’adapte à la société, c’est l’inverse qui doit se produire. Selon Eric Schmidt, chairman chez Google, c’est la société qui va s’adapter aux Google Glass, avant de rajouter : « notre objectif est d’apporter un monde meilleur. Nous allons écouter les critiques en chemin, mais les critiques sont inévitablement l’œuvre de personnes qui ont peur du changement et qui n’ont pas compris qu’il y aura une adaptation à la société. »

Man with Google Glass

Que pouvons-nous tirer de cela ? A mon avis, deux approches sont possibles.

La première est que oui, Google va trop loin. Ce n’est pas avec un discours du genre que le changement pourra être inculqué dans l’esprit de la société. L’entreprise américaine aurait mieux à faire de communiquer sur les possibilités de l’engin plutôt que de donner un discours de bien penseur.

D’un autre coté, ce que propose Google semble être formidable. Les possibilités proposées par les Google Glass laissent rêveurs. J’ai vraiment envie de croire que nous devrons compter avec ces lunettes dans le futur, j’ai vraiment envie de croire en ce type de changement. A Google maintenant de convaincre et de faire l’unanimité auprès de la société.

http://www.presse-citron.net/eric-schmidt-la-societe-va-sadapter-aux-google-glass

Sébastien A.

Budweiser lance la Buddy Cup, le gobelet pour se faire des amis Facebook.

« S’il est de notoriété publique que boire un petit verre (avec modération) permet de faire quelques rencontres, la marque de bière Budweiser a pris au mot cet adage dans le cadre d’une nouvelle opération marketing qui risque de faire parler d’elle. »

Très certainement pour la coupe du monde du Brésil, la marque de bière Budweiser,  numéro un aux Etats-Unis, lance « The Buddy Cup ».

Lors des soirées organisées par la marque,  on vous remet un gobelet muni d’une puce RFID (radio-identification) qu’il vous faudra connecter à votre compte Facebook via un un code 2D sous le verre qu’il vous suffira de flasher ou de scanner.

Pour les personnes fréquentant ces soirées, autrement dit les non-geeks, une puce RFID permet à un objet d’envoyer des informations à plus ou moins 5cm de distance (comme par exemple votre passe navigo).

Arrive le moment « intéressant », cette nouvelle gamme de verre vous permet d’ajouter des nouveaux amis rencontrés dans la soirée simplement en trinquant. Une « demande d’amis » est alors  automatiquement envoyée à la personne avec qui vous venez de trinquer. Fini le « t’as un 06 ? ».

Buddy

Magique! Ou pas.  Attention de ne pas laisser trainer votre gobelet n’importe où.

De la même manière, cela reste quelque chose d’intrusif dans votre vie privée. En effet, nous n’avons pas forcément envie d’avoir en ami Facebook toutes les personnes avec qui nous trinquons durant nos folles soirées où l’on aime tout le monde sans pour autant vouloir y donner suite. De plus, avec ce nouveau concept, il sera désormais impossible de donner une fausse identité aux personnes que l’ont préfèrerait éviter.

Au moins, si vous avez trop bu, Facebook vous permettra toujours de reconstituer votre soirée.

Au final, c’est une opération marketing réussit pour Budweiser. Voilà une façon redoutable d’exceller sur les réseaux sociaux. Nous ne remarquerons pas le parallèle avec la bouteille lumineuse présentée par Heineken il y a quelques semaines, lors de la Milan Design Week…

Lucie M.

Source: www.geeksandcom.com